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DeVeNiR hAcKaR
S'il est une question qui revient souvent sur le Web, c'est bien celle-là : comment devient-on hacker? Et d'abord, qu'est-ce exactement qu'un hacker? Loin des argumentaires racoleurs de sociétés commerciales ou des propos impropres de médias généralistes, ce document apporte une réponse concrète et détaillée au niveau technique, mais également culturel voire politique. Initié fin 1997, il fait partie des textes fondateurs de la communauté des hackers, mais n'est pas lui-même à considérer sans esprit critique. Pourquoi ce document? En tant qu'éditeur du Jargon File, je reçois souvent des emails d'internautes débutants qui me demandent "comment puis-je apprendre à devenir un hacker?''. Bizarrement, il ne semble pas y avoir de FAQs ou de documents sur le Web qui répondent à cette question vitale. Voici donc ma réponse. Qu'est-ce qu'un hacker? Le Jargon File [traduit en français par Frédéric de SOLLIERS et Christian ROZEBOOM sous le titre Cyberlexis, Editions Masson, NDT] contient un certain nombre de définitions du terme "hacker'', qui sont toutes liées à l'aptitude technique et au plaisir pris à résoudre des problèmes et à dépasser des limites arbitraires. Cependant, si vous voulez savoir comment devenir un hacker, seules deux de ces définitions sont pertinentes. Il existe une communauté, une culture partagée, de programmeurs expérimentés et de spécialistes des réseaux, dont l'histoire remonte aux premiers mini-ordinateurs multi-utilisateurs, il y a quelques dizaines d'années, et aux premières expériences de l'ARPAnet [le réseau connu aujourd'hui sous le nom d'Internet, NDT]. Les membres de cette culture ont créé le mot "hacker''. Ce sont des hackers qui ont créé l'Internet. Ce sont des hackers qui ont fait du système d'exploitation Unix ce qu'il est de nos jours. Ce sont des hackers qui font tourner les newsgroups [forums de discussion, NDT], Usenet et le World Wide Web. Si vous faites partie de cette culture, si vous y avez contribué et si d'autres personnes qui en font partie savent qui vous êtes et vous considèrent comme un hacker, alors vous êtes un hacker. L'état d'esprit d'un hacker ne se réduit pas à cette culture des hackers du logiciel. Il y a des gens qui appliquent l'attitude du hacker à d'autres domaines, comme l'électronique ou la musique. En fait, on trouve cet esprit à l'état le plus avancé dans n'importe quel domaine de la science ou des arts. Les hackers du logiciel reconnaissent cette similitude d'esprit, et certains affirment que la nature même du hacker est indépendante du domaine particulier auquel le hacker se consacre réellement. Mais dans la suite de ce document, nous nous concentrerons sur les aptitudes et les attitudes des hackers du logiciel, et sur les traditions de la culture partagée qui a créé le terme "hacker''. NB: il y a un autre groupe de personnes qui s'autoproclament des "hackers'', mais qui n'en sont pas. Ces gens (principalement des adolescents de sexe masculin) prennent leur pied en s'introduisant à distance dans les systèmes informatiques et en piratant les systèmes téléphoniques. Les vrais hackers appellent ces gens des "crackers'' et ne veulent rien avoir à faire avec eux. Les vrais hackers pensent que les crackers sont des gens paresseux, irresponsables et pas très brillants. Malheureusement, de nombreux journalistes se sont laissés abuser et utilisent le mot "hacker'' quand ils devraient utiliser le mot "cracker''. Cela ne lasse pas d'irriter les vrais hackers. La différence fondamentale est la suivante: les hackers construisent des choses, les crackers les cassent. Si vous voulez devenir un hacker, alors continuez cette lecture. Si vous voulez devenir un cracker, allez lire le newsgroup alt.2600, c'est tout ce que j'ai à en dire. L'attitude des hackers Les hackers résolvent des problèmes, construisent des choses et croient à la liberté et à l'entraide volontaire. Pour être accepté comme un hacker, vous devez vous comporter comme si vous aviez ce type d'attitude vous-même. Et pour vous comporter comme si vous aviez ce type d'attitude, vous devez vraiment y croire. Mais si vous pensez qu'adopter l'attitude d'un hacker n'est qu'un moyen pour être accepté dans la culture des hackers, alors vous avez raté le point essentiel: il faut croire à ces principes pour en tirer la motivation personnelle pour continuer à apprendre. Comme pour tous les arts créatifs, la façon la plus efficace de devenir un maître est d'imiter l'état d'esprit des maîtres - non seulement intellectuellement - mais aussi émotionnellement. Donc, pour devenir un hacker, répétez les phrases suivantes jusqu'à y croire réellement : 1. Le monde est plein de problèmes fascinants qui n'attendent que d'être résolus C'est très amusant d'être un hacker, mais c'est un amusement qui demande beaucoup d'efforts, et l'effort demande de la motivation. Les champions sportifs tirent leur motivation d'un plaisir physique à accomplir des performances avec leur corps, à dépasser leurs propres limites physiques. De façon similaire, pour être un hacker, il faut ressentir une certaine excitation à résoudre des problèmes, à affûter ses compétences et à exercer son intelligence. Si pour vous cette façon de penser n'est pas naturelle, il faut qu'elle le devienne si vous voulez devenir un hacker. Autrement, vous allez découvrir que votre énergie va se disperser dans des distractions comme le sexe, l'argent ou la reconnaissance sociale. (Vous devez également développer une certaine foi en votre propre capacité d'apprentissage : même si vous ne savez pas tout ce qu'il faut pour résoudre un problème, si vous en traitez seulement une partie et que vous en apprenez quelque chose, alors vous allez réussir à traiter la partie suivante, et ainsi de suite jusqu'à ce que le problème soit résolu.) 2. Personne ne devrait jamais avoir à résoudre le même problème deux fois. Les cerveaux créatifs sont une ressource précieuse et limitée. Il ne faut pas la gâcher en réinventant la roue quand il y a tant de problèmes fascinants qui attendent. Pour vous comporter comme un hacker, vous devez vous convaincre que le temps de pensée des autres hackers est précieux, à tel point que c'est pour vous une obligation morale de partager vos informations, de résoudre des problèmes et d'en donner les solutions pour que les autres hackers puissent résoudre de nouveaux problèmes au lieu de perpétuellement revenir sur les mêmes. (Il n'est pas nécessaire de vous croire obligé de donner toute votre production créative, bien que les hackers les plus respectés soient ceux qui le font. Il est tout à fait compatible avec les valeurs des hackers d'en vendre une partie suffisante pour payer sa nourriture, son loyer et ses ordinateurs, d'entretenir une famille et même de devenir riche, à condition de ne jamais oublier que vous êtes un hacker pendant tout ce temps.) 3. La routine et l'ennui sont inacceptables. Les hackers (et les gens créatifs en général) ne devraient jamais se consacrer à des tâches ennuyeuses ou répétitives, parce que cela signifie qu'ils ne font pas ce qu'eux seuls savent faire : résoudre de nouveaux problèmes. Pour se comporter comme un hacker, vous devez vous en convaincre suffisamment pour automatiser les parties ennuyeuses de votre travail, non seulement pour vous-même, mais aussi pour tous les autres (et particulièrement les autres hackers). (Il y a une exception apparente à cette règle : un hacker va parfois faire des choses qui semblent répétitives ou ennuyeuses à un observateur pour se vider l'esprit, pour acquérir une nouvelle compétence, ou pour faire une expérience particulière. Mais c'est toujours par choix : une personne capable de penser ne devrait jamais être forcée à faire un travail ennuyeux.) 4. Vive la liberté! Les hackers sont naturellement anti-autoritaristes. Si une personne peut vous donner des ordres, elle peut vous empêcher de résoudre le problème particulier, quel qu'il soit, par lequel vous êtes fasciné à un instant donné. Et, vu la façon dont les esprits autoritaristes fonctionnent, elle trouvera en général une raison particulièrement stupide de le faire. Par conséquent, les attitudes autoritaristes doivent être combattues partout où elles se trouvent. (Ce n'est pas la même chose que de combattre toute forme d'autorité. Les enfants ont besoin d'être guidés, et les criminels d'être arrêtés. Un hacker peut accepter de se soumettre à une certaine forme d'autorité pour obtenir quelque chose qu'il désire plus que le temps perdu à suivre les ordres. Mais c'est un marchandage limité, conscient. Une soumission totale à une autorité donnée est hors de question.) Les autoritaristes se nourrissent de censure et de secrets. Et ils se méfient de l'entraide mutuelle et du partage d'informations. Ils n'apprécient la "coopération" que quand ils peuvent la contrôler. Donc, pour vous comporter comme un hacker, vous devez développer une hostilité instinctive vis-à-vis de la censure, du secret et de l'usage de la force ou de la ruse pour dominer des adultes responsables. Et vous devez vous tenir prêt à agir conformément à cette conviction. 5. L'attitude n'est pas un substitut à la compétence. Pour être un hacker, vous devez développer un certain nombre de ces attitudes. Mais cela seul ne suffira pas à faire de vous un hacker, pas plus qu'un champion sportif ou une rock star. Pour devenir un hacker, il faut de l'intelligence, de l'expérience, de la persévérance et beaucoup de travail. Par conséquent, vous devez apprendre à vous méfier des attitudes et à respecter les compétences, quelles qu'elles soient. Les hackers ne se laissent pas impressionner par les poseurs, mais ils apprécient les compétences, particulièrement les compétences de hackers, mais aussi toutes les autres. Les compétences dans les domaines exigeants maîtrisées par une élite sont particulièrement appréciées, et plus particulièrement celles qui nécessitent un esprit perçant et une grande concentration. Si vous respectez la compétence, alors vous aimerez travailler à vous améliorer sans cesse, et cela sera plus un plaisir qu'une routine. C'est vital pour devenir un hacker. Les compétences de base du hacker Il est vital d'avoir une attitude de hacker, mais encore plus vital d'en avoir les compétences. L'attitude n'est pas un substitut pour la compétence, et il convient de développer un ensemble minimal de compétences avant que l'idée n'effleure un autre hacker de vous accepter comme son pair. Cet ensemble change lentement au cours du temps, au fur et à mesure que l'évolution technologique crée de nouvelles compétences et en rend d'autres obsolètes. Par exemple, à une certaine époque il convenait de savoir programmer en assembleur et il n'était pas question, jusqu'à une date récente, de HTML. En tout état de cause, il est clair que cela inclut, fin 1996 : 1. Apprendre à programmer. C'est, évidemment, la compétence fondamentale du hacker. En 1997, le langage à connaître absolument est le C (mais ce n'est probablement pas celui qu'il faut apprendre en premier). Mais vous n'êtes pas un hacker (ni même juste un programmeur) si vous ne connaissez qu'un seul langage. Il faut apprendre à penser à la programmation en termes généraux, indépendamment d'un langage particulier. Pour être un vrai hacker, il faut être arrivé au point où vous pouvez apprendre un nouveau langage en quelques jours, en faisant le rapport entre ce qui est écrit dans le manuel et vos propres connaissances. Cela signifie que vous devez apprendre plusieurs langages très différents. A part le C, vous devez également apprendre LISP [ou Scheme, NDT] et Perl [ou Python, NDT], et Java aura bientôt sa place également dans la liste. En plus d'être les langages les plus pratiqués par les hackers, ils représentent chacun une approche très différente de la programmation, et contribueront de façon très sensible à votre éducation. Je ne peux pas vous donner un cours complet sur "comment apprendre à programmer'', c'est quelque chose de très complexe. Mais je peux vous dire que les livres et les cours ne suffisent pas (la plupart des meilleurs hackers sont autodidactes). Ce qu'il faut, c'est (a) lire du code et (b) écrire du code. Apprendre à programmer, c'est comme apprendre à écrire correctement dans un langage humain. La meilleure façon d'y arriver, c'est de lire des trucs écrits par des maîtres, d'en écrire un peu, d'en lire beaucoup plus, d'en écrire un peu plus, etc. jusqu'à ce que vous arriviez à écrire avec la même force et la même économie de moyens que vos modèles. Trouver du bon code à lire a longtemps été difficile, parce qu'il y avait très peu de gros programmes disponibles sous forme de sources pour que les apprentis hackers puissent les lire et les étudier. Heureusement, cette situation a évolué, et maintenant des logiciels libres, des outils de programmation libres et des systèmes d'exploitation libres (tous disponibles sous forme de sources, tous écris par des hackers) sont maintenant très faciles à trouver. Cela nous amène directement à notre sujet suivant... 2. Installer un Unix libre et apprendre à s'en servir. Je vais supposer que vous possédez, ou que vous avez accès à un ordinateur personnel. Pour un débutant qui aspire à acquérir des compétences de hacker, l'action la plus importante à entreprendre est d'obtenir une copie de Linux ou d'un des clones de BSD, de l'installer sur une machine personnelle, et de le faire tourner. Bien sûr, il y a d'autres systèmes d'exploitation dans le monde à part Unix. Le problème, c'est qu'ils sont distribués sous forme de binaires. Vous ne pouvez pas lire le code, et encore moins le modifier. Apprendre à hacker sur une machine DOS ou Windows, ou sous MacOS, c'est comme d'apprendre à danser en étant plâtré des pieds à la tête. En plus, Unix est le système d'exploitation de l'Internet. On peut apprendre à utiliser l'Internet sans connaître Unix, mais on ne peut pas être un hacker de l'Internet sans le comprendre. C'est pour cette raison que la culture des hackers est à l'heure actuelles fortement Unix-centrique. (Ce n'a pas été toujours le cas, et quelques hackers âgés regrettent cet état de fait, mais la symbiose entre Unix et l'Internet est devenue suffisamment forte pour que même Microsoft semble s'y casser les dents.) Donc, installez un Unix (j'aime bien personnellement Linux mais d'autres choix sont possibles). Apprenez-le. Faites-le tourner. Parlez à l'Internet avec. Lisez le code. Modifiez le code. Vous trouverez de meilleurs outils de programmation (y compris C, Lisp, Perl) que sous n'importe quel système d'exploitation de Microsoft, vous vous amuserez, et vous en tirerez plus de connaissances que ce que vous avez l'impression d'apprendre, jusqu'à ce que vous deveniez un vrai maître hacker. Pour en savoir plus sur comment apprendre Unix, voir The Loginataka. Pour obtenir Linux, voir Where To Get Linux [En français, allez voir sur Freenix, ou Loria, NDT]. 3. Apprendre à utiliser le World Wide Web et à écrire en HTML. La plupart des choses créées par la culture des hackers travaillent dans l'ombre, en aidant à faire tourner des usines, des bureaux et des universités, sans impact direct sur les vies des non-hackers. Il y a une grosse exception, le Web, ce jouet de hacker énorme et lumineux dont même les politiciens admettent qu'il est en train de changer la face du monde. Rien que pour cette raison (et pour de bonnes raisons par ailleurs), vous devez apprendre à travailler avec le Web. Cela ne signifie pas seulement apprendre à utiliser un browser [navigateur, butineur, NDT], mais aussi apprendre à écrire en HTML, le langage de balisage du Web. Si vous ne savez pas programmer, le fait d'écrire en HTML vous apprendra quelques habitudes mentales qui vous aideront à démarrer. Donc, faites-vous une home page [page personnelle, NDT]. Mais ce n'est pas seulement d'avoir une home page qui fera de vous un hacker. Le Web est plein de home pages. La plupart sont d'un intérêt absolument nul, parfois jolies à regarder mais nulles quand même (pour plus d'information voir The HTML Hell Page). Pour être utile, votre page doit avoir du contenu. Elle doit être intéressante et/ou utile pour les autres hackers. Cela nous conduit à notre sujet suivant... Les statuts dans la culture des hackers Comme pour la plupart des cultures sans économie monétaire, le fondement de la culture des hackers est la réputation. Vous essayez de résoudre des problèmes intéressants, mais seuls vos pairs ou vos supérieurs dans la hiérarchie technique sont à même de juger si ces problèmes sont intéressants, et si ces solutions sont vraiment correctes. Par conséquent, si vous jouez le jeu du hacker, vous apprenez le score principalement à partir de ce que les autres hackers pensent de vos capacités, et c'est pour ça que l'on n'est vraiment un hacker que lorsque les autres hackers vous considèrent comme tel. Ce fait est obscurci par l'image du hacker comme un travailleur solitaire, aussi bien que par un tabou de la culture des hackers (qui s'estompe progressivement mais qui reste présent) : le fait d'admettre qu'une partie de sa motivation vient de son ego ou de la recherche d'une acceptation externe. De façon spécifique, le monde des hackers constitue ce que les anthropologues appellent une culture du don. On obtient un statut ou une réputation non pas en dominant les autres, en étant beau ou en possédant des choses que les autres désirent, mais en faisant des dons : de son temps, de sa créativité, du résultat de ses compétences. Il y a principalement cinq types de choses à faire pour être respecté par les hackers : 1. Ecrire des logiciels libres. La première, la plus centrale et la plus traditionnelle, est d'écrire des programmes dont les autres hackers pensent qu'ils sont amusants ou utiles, est de faire don du code source pour que toute la communauté des hackers puisse les utiliser. Les "demi-dieux" les plus respectés dans l'univers des hackers sont ceux qui ont écrit des programmes importants, utiles et correspondant à un besoin répandu, et qui en ont fait don à la communauté, de sorte que maintenant tout le monde s'en sert. 2. Aider à tester et à débugger des logiciels libres. Il est également utile d'aider à débugger et à perfectionner les logiciels libres. Dans ce monde imparfait, nous passons inévitablement la part la plus importante du temps de développement d'un logiciel dans la phase de débuggage. C'est pour cela que les auteurs de logiciels libres savent que des bons béta-testeurs (ceux qui savent décrire les symptômes clairement, localiser précisément les problèmes, qui peuvent tolérer quelques bugs dans une distribution rapide et qui sont prêt à appliquer une procédure de diagnostic simple) valent leur pesant d'or. Un seul d'entre eux peut faire la différence entre une séance de débuggage cauchemardesque et une simple nuisance salutaire. Si vous êtes un débutant, essayez de trouver un programme en cours de développement qui vous intéresse et de devenir un bon béta-testeur. C'est une progression naturelle que de commencer par aider à tester des programmes, puis d'aider à les débugger, puis d'aider à les modifier. Vous apprendrez beaucoup de cette façon, et vous vous ferez un bon karma par rapport à des gens qui vous aideront plus tard. 3. Publier des informations utiles. Une autre bonne chose est de réunir et de filtrer des informations utiles et intéressantes sous forme de pages Web ou de documents comme les FAQs (listes de Frequently Asked Questions, [en français, Foires Aux Questions, NDT]) et de les rendre accessibles à tous. Les personnes qui maintiennent les FAQs techniques les plus importantes sont presque autant respectées que les auteurs de logiciels libres. 4. Aider à faire tourner l'infrastructure. La culture des hackers (et le développement technique de l'Internet) marche grâce à des volontaires. Il y a beaucoup de travail peu excitant, mais nécessaire, qui doit être fait pour que ça continue à tourner : administrer les mailing lists [listes de diffusion, NDT], modérer les newsgroups, gérer les sites d'archives de logiciels, écrire les RFC [Requests For Comments, les "normes'' de l'Internet] et autres standards techniques. Les gens qui font ce genre de choses sont très respectés, parce que tout le monde sait que c'est un boulot qui demande énormément de temps et qui n'est pas aussi drôle que de jouer avec du code. 5. Servir la culture des hackers elle-même. Pour finir, vous pouvez servir et propager la culture elle-même (par exemple, en écrivant une introduction précise [ou une traduction d'icelle, NDT] sur comment devenir un hacker :-)). ce n'est pas quelque chose qu'il vous sera possible de faire avant d'avoir été dans le bain pendant un certain temps et d'être devenu bien connu pour l'une des quatre premières choses. La culture des hackers n'a pas de chefs, au sens précis du terme, mais elle a des héros, des historiens et des porte-parole. Quand vous aurez été dans les tranchées pendant assez longtemps, vous pourrez peut-être devenir l'un de ceux-ci. Mais attention : les hackers se méfient des egos surdimensionnés chez les anciens de leur tribu. Il faut donc éviter de montrer ouvertement que l'on recherche à obtenir ce genre de célébrité. Il vaut mieux faire en sorte qu'elle vous tombe toute cuite dans votre assiette, et toujours rester modeste à sujet de votre statut. Le rapport entre les hackers et les nerds Contrairement à un mythe populaire, on n'a pas besoin d'être un nerd [polard, NDT] pour être un hacker. Cela aide, cependant, et de nombreux hackers sont en fait des nerds. D'être un proscrit social vous aide à vous concentrer sur les choses importantes, comme penser et hacker. C'est pour cette raison que de nombreux hackers ont adopté l'étiquette "nerd" et utilisent même le terme plus cru de "geek" comme un insigne honorifique; c'est une façon de déclarer leur indépendance vis-à-vis des attentes normales de la vie sociale. Voir The Geek Page pour une discussion exhaustive. Si vous arrivez à vous concentrer suffisamment sur le hack pour y exceller et vivre votre vie par ailleurs, tant mieux. C'est beaucoup plus facile à présent que lorsque j'étais un débutant. La culture dominante est beaucoup plus tolérante de nos jours vis-à-vis des techno-nerds. Il y a même un nombre croissant de gens pour penser que les hackers forment un matériel de premiers choix en tant que petit(e) ami(e)/mari/femme (consultez par exemple Girl's Guide to Geek Guys). Si vous voulez devenir un hacker parce que vous n'avez pas de vie privée, pas de problème : au moins il n'y aura rien pour vous empêcher de vous concentrer. Et vous finirez peut-être par en avoir une un jour. Style de vie Encore une fois, pour être un hacker, il faut entrer dans l'état d'esprit du hacker. Pour cela, il y a quelques activités que l'on pratique loin d'un ordinateur qui semblent aider. Ce ne sont évidemment pas des substituts à la pratique de l'informatique, mais de nombreux hackers les pratiquent, et pensent qu'elles sont reliées de façon fondamentale à l'essence du hack. Lire de la science-fiction. Aller à des conventions de SF (un bon moyen pour rencontrer des hackers et des proto-hackers); Pratiquer le Zen et/ou les arts martiaux (pour la discipline mentale); Ecouter et analyser de la musique, apprendre à apprécier des formes particulières de musique. Apprendre à bien jouer d'un instrument, ou à chanter; Apprécier les jeux de mot; Apprendre à bien écrire dans sa langue maternelle. Plus vous pratiquez ces disciplines, plus il est probable que vous pourrez naturellement faire un bon hacker. Les raisons pour lesquelles ces activités sont importantes ne sont pas claires, mais il semble que ce soit parce qu'elles font intervenir à la fois les parties gauche et droite du cortex (les hackers ont besoin de passer de façon instantanée d'un raisonnement logique à une perception plus subjective d'un problème). Pour finir, une liste de choses à ne pas faire: Ne pas utiliser des noms de pseudos grandiloquents ou stupides; Ne pas intervenir dans les flame wars [guerres au lance-flamme] dans les newsgroups Usenet ou ailleurs; Ne pas s'autoproclamer "cyberpunk'', et ne pas perdre son temps avec quelqu'un qui le fait; Ne pas poster de message rempli de fautes d'orthographe ou de grammaire. La seule réputation que vous vous ferez de cette façon est celle d'un parfait idiot. Les hackers ont la mémoire longue. Cela pourra vous prendre plusieurs années avant que de telles erreurs soient oubliées. Autres ressources Le Loginataka [en anglais, NDT] parle un peu de l'entraînement et de l'attitude du hacker Unix. J'ai également écrit A Brief History Of Hackerdom [Une brève histoire de la culture des hackers, NDT]. J'ai écris un papier, The Cathedral and the Bazaar, qui explique comment fonctionne la culture de Linux. Voir la page de mes écrits. Foire Aux Questions Q: Est-ce que pouvez m'apprendre à hacker? Depuis que j'ai publié cette page, je reçois plusieurs demandes par semaine de gens qui me demandent "apprenez-moi tout sur le hack''. Malheureusement, je n'ai ni le temps, ni l'énergie pour cela. Mes propres projets de hacks m'occupent déjà à 110%. Et même si je le faisais, être un hacker est une attitude et une compétence que l'on doit essentiellement apprendre par soi-même. Vous verrez que même si les vrais hackers sont prêts à vous aider, ils ne vous respecteront pas si vous les suppliez de vous transmettre tout ce qu'ils savent à la petite cuillère. Commencez par apprendre deux ou trois choses. Montrez que vous essayez, que vous êtes capable d'apprendre par vous-même. Ensuite, vous pourrez aller voir les hacker avec des questions. Q: Où puis-je trouver des vrais hackers pour discuter avec eux? Sûrement pas sur IRC, en tout cas. Il n'y a que des flammeurs et des crackers, à perte de vue. Le mieux est de contacter un groupe local d'utilisateurs d'Unix ou de Linux et d'aller à leurs réunions (on peut en trouver une liste sur la page Linux Users' Group de Sunsite). Q: Quel langage dois-je apprendre en premier? HTML, si vous ne le connaissez pas déjà. On trouve plein de livres à la couverture brillante et chamarrée sur HTML, qui sont par ailleurs très mauvais, et très peu de bons. Celui que je préfère est HTML: The Definitive Guide. [En français, on trouvera une bonne introduction (non technique) dans l'article du micro-bulletin Concevoir et faire vivre des sites Web, NDT.] Si vous voulez commencer à programmer, je vous conseille de commencer par Perl ou par Python. Le C est vraiment important, mais beaucoup plus difficile. Q: Par où dois-je commencer? où puis-je trouver un Unix libre? J'ai inclus ailleurs dans cette page des pointeurs sur comment obtenir linux. Pour devenir un hacker, il vous faut de la motivation, le sens de l'initiative et la capacité à apprendre par vous-même. Alors, c'est le moment ou jamais... ACHRAF-B13
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Dernier message par Games_Whads
Decodage des Mob!les
Voila Le decodage De tous les mobiles sur terre






Les GSM (Global System for Mobile communications) , quelle que soit la marque de votre portable, ont cach?au creux de leurs puces des codes qui permettent des manipulations de base. Petite promenade ...
NDLR : Selon la date de mise en service de votre GSM certains codes peuvent ne pas fonctionner.

Pour changer le code PIN
Tapez "*", 0, 4, "*", L'ancien code PIN, "*", Votre nouveau code, "*" et confirmez votre nouveau code

Pour modifier le second code PIN, le PIN2
Tapez "*", "*", 0, 4, 2, "*", l'ancien code PIN2, "*", le nouveau code, "*", et confirmez votre nouveau code.

D?ode le PIN2 (Attention seulement trois essais) sinon vous n'aurez plus acc? ?votre portable, ce qui sera synonyme de poubelle pour votre t??hone.
Tapez "*", "*", 0, 5, 2, "*", PUK2, "*" Nouveau code PIN2, "*" confirmez votre nouveau code

Afficher le num?o de s?ie du t??hone IMEI (International Mobile Equipment Identity) : Tous les GSM
Code
*#06#

Code de la forme : XX - XXXX - XX - XXXXXX - X = No fabricant - Type de t??hone - Code d'assemblage - No de s?ie - Spare.
Ce code permet de savoir si le t??hone n'a pas ??vol?en comparant avec l'?iquette d'achat (pour les occazes).

Mode EFR (Enhanced Full Rate) : Tous les GSM
Ce mode EFR am?iore la qualit?d'?oute mais le probl?e est qu'il consomme aussi plus de batterie (pr? de 10 %). Tout d?end alors de l'utilisation que vous avez de votre portable !
Activer
*3370#

D?activer
#3370#

Attention : Le t??hone s'?eint apr? activation ou d?activation de ce mode (reboot) !!!

Mode HCR (Half Rate Compression) : Tous les GSM
Ce mode quand il est activ?r?uit la qualit?du son et de la r?eption mais par contre il augmente la dur? de la batterie (jusqu'?30%).
Activer
*4720#

D?activer
#4720#

Attention : Ce code provoque un reboot du t??hone !!!

Masquer le num?o de votre correspondant : Tous les GSM
Masque le num?o
*30# puis envoi

Identification N?activ?
#30# puis envoi

Contr?e l'?at du t??hone
*#30# puis envoi

Ce code ne marche que si vous avez souscrit cette option avec votre op?ateur.

Masquer votre num?o ?votre correspondant : Tous les GSM
Enl?e le masque *31# puis envoi
Masque le num?o #31# puis envoi
Contr?e l'?at du t??hone *#31# puis envoi
#31# puis num?o de votre correspondant : ceci vous permet de masquer votre num?o pour cet appel uniquement

REPERTOIRE AUTOMATIQUE
Pour s?ectionner rapidement un correspondant dans le r?ertoire, si vous connaissez ?quelle position il se trouve, alors sans entrer dans le r?ertoire, vous tapez le num?o de la place du correspondant suivi de #.
Exemple: si Marc est en position 12, vous tapez 12# alors votre correspondant s'affichera.

UNE BASE DE DONNEES SUR TOUS LES RESEAUX DU MONDE :
En t??hargeant ce fichier ZIP (60 Ko), vous acc?erez aux infos sur tous les op?ateurs du monde... (codes r?eaux, sites internet, protocoles d'utilisation, options utilis?s par les op?ateurs...)
Pour t??harger le fichier : cliquez ici

Voici autres codes pour differrents marques :

Alcatel

IMEI number: * # 0 6 #
Software version: * # 0 6 #
Net Monitor: 0 0 0 0 0 0 *

Bosch

IMEI Number: * # 0 6 #
Dafault Language: * # 0 0 0 0 #
Net Monitor: * # 3 2 6 2 2 5 5 * 8 3 7 8 #

Dancall

IMEI number: * # 0 6 #
Software version: * # 9 9 9 9 #
SIMcard serial number: * # 9 9 9 4 #
Information about battery status: * # 9 9 9 0 #
Selftest (only Dancall HP2731): * # 9 9 9 7 #
Show version configuration: * # 9 9 9 8 #
Net Monitor: * # 9 9 9 3 #

Ericsson
Ericsson 6xx/7xx/8xx

IMEI number: * # 0 6 #
Software version: > * < < * < *
Default language: < 0 0 0 0 >
Enter to phone menu without SimCard - after Wrong PIN press NO: * * 0 4 * 0 0 0 0 * 0 0 0 0 * 0 0 0 0 #
Information about SIMLOCK: < * * <

Ericsson A1018S/T10S/T18S/T28S

IMEI number: * # 0 6 #
Software version: > * < < * < *
Default language: < 0 0 0 0 >
Enter to phone menu without SimCard - after Wrong PIN
press NO: * * 0 4 * 0 0 0 0 * 0 0 0 0 * 0 0 0 0 #
Information about SIMLOCK: < * * <
Ericsson 788 uniquement ! :
<*[CLR]< = SIM-LOCKING (attention risque de blocage du GSM)


Hagenuk (Duet)

IMEI number: * # 0 6 #
Software version check: # # 9 1 4 0 * 8 3 # 7 5 * 2 #

Motorola

IMEI number: * # 0 6 #
Net Monitor ON: * * * 1 1 3 * 1 * [OK]
Net Monitor OFF: * * * 1 1 3 * 1 * [OK] * - press this until box shown up

Maxon

*#9988# Tetris Play
*#9900# Software Version
*#9911# L1 Debug on/off
*#9916# Text (scroll trough with up/down)
*#9937# Discharging battery
*#9958# Watch stop
*#9959# Watch start
*#9960# Contrast set
Lock status *#9917#

MITSUBISHI :

Mitsubishi MT-10, MT-11, MT-20 :
En gardant appuye la touche C taper les touches qui composent le mot
VITESJ, vous entrerez dans le menu Monitor.
Mitsubishi MT-430 :
931# = capacite de la carte SIM
en tapant 3 chiffre puis #, vous accedez directement ?l'emplacement
de la memoire SIM correspondant.
Mitsubishi MT-30, MT-35 :
Gardez appuye la touche C et taper 999, vous pourrez eteindre votre
telephone meme s'il est bloque.
Gardez appuye la touche C et taper 987, vous accedez ?un autre menu
secret relatif au Mains-Libres.


NOKIA
NOKIA 5110/5120/5130/5190/6110/6120/6130/6150/6190
IMEI number: * # 0 6 #
Software version: * # 0 0 0 0 #
Simlock info: * # 9 2 7 0 2 6 8 9 #
Enhanced Full Rate: * 3 3 7 0 # [ # 3 3 7 0 # off]
Half Rate: * 4 7 2 0 #
Provider lock status: # p w + 1 2 3 4 5 6 7 8 9 0 + 1
Network lock status # p w + 1 2 3 4 5 6 7 8 9 0 + 2
Provider lock status: # p w + 1 2 3 4 5 6 7 8 9 0 + 3
SimCard lock status: # p w + 1 2 3 4 5 6 7 8 9 0 + 4
1234567890 - MasterCode which is generated from IMEI
Nokia 3110
IMEI number: * # 0 6 #
Software version: * # 0 0 0 0 # or * # 9 9 9 9 # or * # 3 1 1 0 #
Simlock info: * # 9 2 7 0 2 6 8 9 #
NOKIA 1610 :
*#06# = numero IMEI / *#170602112302# = version du soft
NOKIA 2010 & 2110 :
*#06# = numero IMEI / *#9999# = version soft
NOKIA 2110I/2110E & 9000 :
*#06# = num‚ro IMEI / *#170602112302# = version soft
*#682371158412125# = ancienne version du soft
*#3283# = ann‚e & mois de production
NOKIA 3110 & 8110 :
*#06# = num‚ro IMEI
*#3110# = version soft (only 3110) / *#8110# = version soft (only 8110)
*#7780# = retablir les valeurs par defaut (only 3110)
Pour voir si on peut activer le SIM-CLOCK-STOP :
*#746025625#
(le SIM-C-S permet d'augmenter l'autonomie, en jouant sur le CLOCK de la
SIM).
Inserer le code *#92702689#, le telephone demande un Warranty Code,
inserer un des codes suivants :
6232 = mois & ann? de fabrication (ok)
7332 = date derni?e r‚paration (ok)
7832 = date d'achat (ok)
9268 = num?o de S?ie (ok)

NOKIA 5110 & 6110 :
*#06# = num‚ro IMEI / *#0000# = version soft (ou *#9999#)
*#92772689# ou *#92702689# = offre 5 sous-menus !
*3370# = mode EFR activ?/ #3370# = mode EFR d?activ?BR>*4720# = mode HR activ?/ #4720# = mode HR d?activ?BR>PIN1 = 0000 / PIN2 = 00000000 (only Nokia 5110 coffret OLA)
12345 code de securite par defaut (5110 & 6110)

NOKIA B 415 (5130 en 1800 mhz / 5100 en 900 mhz) (Bouygues Telecom) "NOMAD" :
*#06# = num‚ro IMEI / *#0000# = version soft / 12345 = code de securite par defaut
*#92702689# = 5 sous-menus / *#746025625# = SIM CLOCK / *3370#-#3370# = EFR / *4720#-#4720# =HR

Identification GSM NOKIA :
voici comment ce composent le numero de SERIE (IMEI) sur les GSM NOKIA :
Lorsque vous avez taper *#06# (qui marche sur presque tous les GSM!)
vous avez un num‚ro de 15 chiffres qui apparait.
- les 2 premiers chiffres sont le PAYS (de fabrication) : 49 (Allemagne)
- les 4 seconds chiffres sont l'identification de la Marque NOKIA: 0545/5505
- le chiffre 10 ou 20 est le code final de fabrication de NOKIA
- les 6 chiffres qui suivent sont le Num‚ro de SERIE NOKIA
- le dernier chiffre est nomm?SP Spare (?)
Version SOFT NOKIA 6110 et B415 (51XX) :
B415 : V05.00 du 01-09-98 NSK-1
6110 : V05.31 du 18-02-99 NSE-3

Philips

IMEI number: * # 0 6 #
Simlock info: * # 8 3 7 7 #
Security code: * # 1 2 3 4 # (Fizz) or * # 7 4 8 9 #

Philips GENIE : codes secrets en Vrac :
*#06#, *#2255*#, *#2254*#, *#2355*#, *#2558*#, *#2562*#, *#2565*#,
*#2377*#, *#2772*#, *#2847*#, *#3333*# etc...


Samsung SGH600/2100DB

IMEI number: * # 0 6 #
Software version: * # 9 9 9 9 # albo * # 0 8 3 7 #
Net Monitor: * # 0 3 2 4 #
Chaning LCD contrast: * # 0 5 2 3 #
Memory info: * # 0 3 7 7 # albo * # 0 2 4 6 #
Reset memory (SIMLOCK`a removing!!!): * 2 7 6 7 * 3 8 5 5#
Reset CUSTOM memory: * 2 7 6 7 * 2 8 7 8 #
Battery state: * # 9 9 9 8 * 2 2 8 #
Alarm beeper: * # 9 9 9 8 * 2 8 9 #
Vibra test: * # 9 9 9 8 * 8 4 2 #

Sagem

IMEI number: * # 0 6 #
Service Menu access: MENU 5 1 1 #

SAGEM B 510 (Bouygues Telecom) :
Aller dans le menu : economiseur d'ecran, taper # et cela doit vous donnez le menu secret de SAGEM ! "OK VERIFIER !!"
NEW : Pour obtenir le Menu Secret, aller dans "Reglage" (5), puis "Telephone" (1) et "Mode Eco" (1).
Une fois dans ECO, taper une fois sur # et voila le Menu suivant :
1) IMEI 2) TELECHARGT 3) RESEAU 4)SIM VERROU 5)POUR PHOTO 6)CONTRASTE 7)BATTERIE.
Par contre, je n'ai pas encore trouver le moyen de savoir la "Version Soft"... ?la chasse donc !
Ont peut sinon obtenir le numero IMEI avec *#06# ! !
Identification SAGEM B 510 : IMEI
- 2 premier chiffres = pays (de fabrication) 33 pour la France
- 4 chiffres suivants = identification de la Marque SAGEM : 1007
- 2 chiffres suivants = identification code final de fabrication de SAGEM : 35
- 6 chiffres suivants = numero de Serie
- dernier chiffre = SP spare (?) initialement ?0

SAGEM RC 712 :
**05* = d?locage de la carte SIM
14630383 = code PUK g??al (?v?ifier !)
Menu Secret pour le SAGEM RC 712 :
Aller dans le Menu 5-1-1 et taper #, vous avez acc? au menu secret :
1)IMEI 2)FLASH EePROM etc.. 3)? 4)SP UNBLOCK 5)? 6)CONTRAST SETTINGS

SAGEM 825 :
Entrer dans Menu Telephone puis taper sur * (etoile) = menu secret

MATRA B 215 :
###999< = version du soft (< = touche gauche)

AEG TELECAR D 902 et TELEPORT TP 9070 :
###999< = version soft

Siemens
Essayer de memoriser le numero +12022243121 dans l'annuaire comme
"Mon numero de telephone". Vous aurez ?l'ecran un sympatique dessin
et une liste de noms de programmeurs du soft !
Siemens S1, S3, S3 COM, S4, S6, S10 :
*#06# = numero IMEI
Siemens S15 DUAL mode :
*#7436367*8378# = menu Monitor
Siemens GIGASET 2000 & 1000 CORDLESS :
Tapez 147 pour entrer dans le menu service. Puis entrer 46395 pour
acceder au menu Monitor !

Siemens C25/S25
IMEI number: * # 0 6 #
Software version: put off sim card and enter: : * # 0 6 # and press LONG KEY
Bunus screen: in phone booke: + 1 2 0 2 2 2 4 3 1 2 1
Net Monitor (S4 Power): Menu 9 8, left SoftKey, 7 6 8 4 6 6 6, Red phone, Menu 5 6



Sony
IMEI number: * # 0 6 #
Software version: * # 8 3 7 7 4 6 6 #
Show list of product creator names (you must save this number in your Phone Book with "own phone no." record): + 1 2 0 2 2 2 4 3 1 2 1


TELITAL :
Telital GALILEO & TEO : pour la fonction Monitor taper ++++

KENWOOD :
Kenwood EM118 (Omnitel 911) = ###999< version soft









43
Dernier message par !!!Azdmnzbzxd
Recharge Carte Meditel
Voila l'astuce en bas





ãËÇá áÏíäÇ åÏå 24973561238759
ÓæÝ äÞÓãåÇ Çáì ÇÑÈÚÉ åßÏÇ
4+9+7=20
3+5+6=14
1+2+3=6
8+7+5=20
ßãÇ ÍÙÊã 9 æ 2 áÇ ÊÊÛíÑ
áÏíäÇ 4+9+7=20
äÈÏá 7 æ 9 æ 4 ÈÍíË 4=a æ 9=b æ 7=c æ a+b+c=20
ãËÇá 6+5+9=20 Çì ÇáäÊíÌÉ ÏÇÁãÇ ÊÓÇæí 20
æ åßÏÇ äÊãã Êã äÍÕá Úáì
29565722049569

35
Dernier message par MineRS8Paf
Recharge Carte Maroc Telecom
Recharger une Cate Maroc Telecom

ACHRAF6B13.C.LA va vous dire une petite astuce ...
a partir d'une carte de recharge je peux tirer d'autre recharges . . .
en changeant le 2eme , 3eme , 4eme, 5eme , 6eme et le 7eme numéro (en lisant de droite a gauche..)
mais en conservant leur somme
par exemple
j'ai cette carte de recharge
12755486734598
je vais changer "275548"
on 2+7+5+5+4+8 = 31 et a+b+c+d+e+f = A sa egale 7+4+3+9+5+3 = 31
et B 2+7+5 = 14 et a+b+c = B et sa egale 7+4+3 = 14
et C 5+4+8 = 17et d+e+f = C etsa egale 9+5+3 = 17
je px mettre a sa place alors "743953"
et ca comme 1abcdef6734598 = 17439536734598
12755486734598
2eme je vais changer "673459"
on 6+7+3+4+5+9 =34 et x+y+z+t+k+r=D ca egale 7+7+2+8+7+3 = 34
et B 6+7+3=16 et x+y+z =E et sa égale 7+7+2 = 16
et C 4+5+9 =18 et t+k+r =F et sa egale 8+7+3 = 18 et ca comme 1abcdefxyztkr8 = 17439537728738
et le numéro valide de la nouvelle recharge est :
17439537728738 , wa yallah tbar3ou lia m3a raskoum
2
Dernier message par yassine hansouri